Accueillir un nouvel employé dans votre structure.

Faut-il intégrer le nouvel employé de manière formelle ou informelle, individuelle ou collective ?

Avant tout, il faut s’intéresser aux pratiques d’intégration, allant de l’accueil, la formation, l’accompagnement à l’intégration, et les différencier de leur stratégie d’application. Faut-il intégrer le nouvel employé de manière formelle ou informelle, individuelle ou collective ? Il ne faut pas obligatoirement répéter les mêmes schémas connus de tous et penser qu’ils sont adaptables pour tous. Par exemple, une visite guidée de l’entreprise et l’organisation d’une réunion avec le reste des employés devrait être plus judicieuse dans un cadre informel.

Cela nous fait penser qu’il vaut mieux apprendre à mieux connaître l’employé avant son accueil et l’accès aux informations lors des entretiens est indispensable. Il faut par ce biais évaluer les attentes du candidat au sujet de son intégration et mieux apprécier ce qu’il imagine pour réussir son entrée. Ainsi, des programmes adaptés et personnalisés pourront être mis en place. D’autant plus lorsqu’il s’agit d’un recrutement international où la culture diffère. Dans ce cas précis, le fait de prendre en charge l’intégration familiale du nouvel employé facilitera son épanouissement personnel et donc sa réussite professionnelle. Pour que leur intégration se passe mieux, l’entreprise peut aussi proposer une formation interculturelle à la famille ou simplement apporter des informations sur les conditions de vie locales.

Ceci dit, la procédure ne prend pas fin à l’entrée du nouveau dans l’entreprise, mais quand il est pleinement impliqué et socialisé à celle-ci. L’accompagnement de l’employé doit aussi être fait en fonction du modèle qui lui correspond, avec un suivi adéquat. Il peut être fait sur le plan professionnel, en facilitant les interactions et en récoltant ses feedbacks. Mais également sur le plan privé, en se tenant informé de ses difficultés d’adaptation s’il en a, par exemple l’intégration de sa famille ou les difficultés administratives s’il est étranger.

De plus, l’entreprise doit identifier les constituants de la qualité de vie au travail et les évaluer. Pour ce faire, des audits peuvent être mis en place. Cela vous permettra d’une part d’identifier de potentielles situations risquées au niveau de la santé comme les « burn out », mais surtout les éléments favorables au bien-être afin de mener les bonnes actions.

Enfin, l’entreprise peut détecter les intentions des nouveaux de rester dans l’entreprise. Cette pratique peut permettre de réfléchir ou repenser leur organisation, afin de fidéliser le salarié et de pérenniser leur culture.

OpenRH

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